Martin Verschaeve

Comédien

Taille : 1m89 / Cheveux : Châtains Clair / Yeux : bleux.
Boxe anglaise, Claquettes

Formé aux cours Jean Périmony, ce sémillant jeune homme passe de Marivaux à Shakespeare, d’Agatha Christie à Jean de La Fontaine, du théâtre du Gymnase, à Paris, au Jardin Shakespeare, à Boulogne, en passant par Moscou, où il travaille auprès de Youri Pogrebnitchko. Depuis son retour, il a participé à la création d’un spectacle musical sur l’engagement dans la chanson française, autour de Jean Ferrat et de Georges Brassens, intitulé « Les deux oncles ». Au sein de la Compagnie Ornithorynque, il joue dans Duo pour Dom Juan et Cyrano 1897.

Formation

  • École d’art dramatique – JEAN PERIMONY, Paris
  • Stage de théâtre « Système STANISLAVSKI » – YOURI POGREBNITCHKO, Moscou
  • Stage d’interprétation – XAVIER LAURENT, Paris
  • Stage “Jeu Caméra” – ALAIN PRIOUL, Paris
  • Stage “Cascades physiques simples : coups/combat” – GOLDBERG et BLOUIN, Paris
  • Stage “Cascade burlesque” – ÉLISE OUVRIER-BUFFET, Paris

Théâtre

DUO POUR DOM JUAN
S. WURTZ
LE MARCHAND DE VENISE
C. MONTAG
CYRANO 1897
S. WURTZ
LE SONGE D’UNE NUIT D’ÉTÉ
C. MONTAG
L’ÉPREUVE DE MARIVAUX
L. RICHARD
LES FABLES DE LA FONTAINE
J. BRUNET
LE JOUET ABANDONNÉ
R. GIORDANO
LA SOURICIÈRE
F. FAKHIMI
VISITES SPECTACLES
R. PISSENEM
VOLPONE
C. MONTAG
LA CANTATRICE CHAUVE
A. LAHAYE
LA COMTESSE D’ESCARBAGNAS
N. RIGUTTO ET C. BUJEAU
SACCO ET VANZETTI
L. JOYEZ
LEURRES SECRETS
S. CHABIN
ARM STRAM DRAM
L. JOYEZ

Télévision

DESTINS CROISÉS
V. CLAVET

Court-Métrage

JE SUIS ROSE
T. DUFOUR
JE SUIS LA BLAGUE
A. FILIPPINNI
MALFRAT À DEUX SOUS
A. PAPAZIAN

Martin VERSCHAEVE

comédien

LA CIE

Ornithorynque

“Animal improbable
et pourtant bien vivant !”

Winston Churchill, Londres, Août 1944.

L’équipe artistique

Équipe administrative

Président : Jérôme DAMBLANT
Trésorier : Pascal CHERON

Le siège social de la Compagnie est
situé au 22 rue André Bru à Villejuif (94)

L’ornithorynque

“L’existence de cet être prouve que Dieu,
s’il existe, a le sens de l’humour”

Voltaire, à Paris (sur son lit de mort),
le 30 mai 1778.